Une curieuse expérience aboutit à la conclusion que quelque 2.500 coups de langue sont nécessaires pour venir à bout d’une sucette.
C’est une approximation… En fait, cette équipe de l’université de New York a étudié les changements de la structure de bonbons (sphériques et cylindriques et mesurant de 1 à 10 cm) sous l’action d’un flux d’eau coulant à une vitesse de 0,1 à 1 m/s. Les images montrent que les sucreries évoluent d’une manière uniforme : une face avant qui s’aplatit et l’arrière qui se bombe. « Des formes géométriques initiales différentes sont sculptées en une forme terminale similaire, avant de finalement disparaître », explique l’un des chercheurs.
Ils se sont aussi intéressés au rythme de dissolution et ont estimé qu’un millier de coups de langue sont nécessaires pour faire disparaître 1 cm de sucette, soit 2.500 pour un calibre moyen de 2,5 cm. Le souci, c’est que cela ne tient pas compte de l’action de la langue, qui modifie la manière dont le bonbon se désagrège. Il est donc nécessaire de développer une modélisation plus proche de la réalité, ce qui ne va pas de soi.
Toujours est-il qu’au-delà de cette extrapolation (anecdotique, il faut bien le dire), ces recherches sont intéressantes dans l’étude des processus de dissolution des matériaux et pourraient trouver des applications très concrètes dans l’industrie chimique et pharmaceutique, et aider à une meilleure compréhension du phénomène d’érosion des roches.
C’est une approximation… En fait, cette équipe de l’université de New York a étudié les changements de la structure de bonbons (sphériques et cylindriques et mesurant de 1 à 10 cm) sous l’action d’un flux d’eau coulant à une vitesse de 0,1 à 1 m/s. Les images montrent que les sucreries évoluent d’une manière uniforme : une face avant qui s’aplatit et l’arrière qui se bombe. « Des formes géométriques initiales différentes sont sculptées en une forme terminale similaire, avant de finalement disparaître », explique l’un des chercheurs.
Ils se sont aussi intéressés au rythme de dissolution et ont estimé qu’un millier de coups de langue sont nécessaires pour faire disparaître 1 cm de sucette, soit 2.500 pour un calibre moyen de 2,5 cm. Le souci, c’est que cela ne tient pas compte de l’action de la langue, qui modifie la manière dont le bonbon se désagrège. Il est donc nécessaire de développer une modélisation plus proche de la réalité, ce qui ne va pas de soi.
Toujours est-il qu’au-delà de cette extrapolation (anecdotique, il faut bien le dire), ces recherches sont intéressantes dans l’étude des processus de dissolution des matériaux et pourraient trouver des applications très concrètes dans l’industrie chimique et pharmaceutique, et aider à une meilleure compréhension du phénomène d’érosion des roches.
publié le : 23-04-2015
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire