Une courte sieste permet d'améliorer le fonctionnement de l’organisme après une nuit marquée par un sommeil insuffisant.
Une sieste d’une demi-heure suffit pour se retaper après une nuit trop courte, c’est ainsi que l’on pourrait résumer les résultats de cette étude française (université Paris Descartes). Des volontaires âgés d’une trentaine d’années ont participé à une expérience qui a d’abord consisté à leur imposer une nuit réduite à deux heures de sommeil. L’après-midi suivant, ils ont fait une sieste soit de deux heures, soit d’une demi-heure. Avant et après, une série de paramètres hormonaux et immunitaires ont été mesurés, autant d’indications sur leur métabolisme cardiaque, artériel, glycémique, inflammatoire…, ainsi que leur capacité de réaction face au risque infectieux et au stress.
Il s’avère qu’alors que l’insuffisance de sommeil fragilise l’organisme, la sieste rétablit la situation, et avec la même efficacité quelle qu’ait été sa durée. Autrement dit, une demi-heure suffit (et c'est d'ailleurs préférable afin d'éviter de se sentir vaseux et de compromettre la qualité du sommeil la nuit suivante). Un argument supplémentaire en faveur de la sieste, sachant que d’autres études ont montré que même en l’absence de troubles du sommeil, elle peut jouer un rôle très favorable pour renforcer l’efficacité pendant la journée (en particulier sur le plan professionnel).
Une sieste d’une demi-heure suffit pour se retaper après une nuit trop courte, c’est ainsi que l’on pourrait résumer les résultats de cette étude française (université Paris Descartes). Des volontaires âgés d’une trentaine d’années ont participé à une expérience qui a d’abord consisté à leur imposer une nuit réduite à deux heures de sommeil. L’après-midi suivant, ils ont fait une sieste soit de deux heures, soit d’une demi-heure. Avant et après, une série de paramètres hormonaux et immunitaires ont été mesurés, autant d’indications sur leur métabolisme cardiaque, artériel, glycémique, inflammatoire…, ainsi que leur capacité de réaction face au risque infectieux et au stress.
Il s’avère qu’alors que l’insuffisance de sommeil fragilise l’organisme, la sieste rétablit la situation, et avec la même efficacité quelle qu’ait été sa durée. Autrement dit, une demi-heure suffit (et c'est d'ailleurs préférable afin d'éviter de se sentir vaseux et de compromettre la qualité du sommeil la nuit suivante). Un argument supplémentaire en faveur de la sieste, sachant que d’autres études ont montré que même en l’absence de troubles du sommeil, elle peut jouer un rôle très favorable pour renforcer l’efficacité pendant la journée (en particulier sur le plan professionnel).
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