http://www.futura-sciences.com/magazines/espace/infos/actu/d/exobiologie-exobiologie-existe-t-il-alternatives-adn-base-ethers-58292/
mardi 26 mai 2015
lundi 25 mai 2015
dimanche 24 mai 2015
Diabète : la force du régime méditerranéen
Pour retarder la prise de médicaments, les patients présentant un diabète de type 2 ont tout intérêt à adopter les grands principes du régime méditerranéen.
L’activité physique régulière et l’alimentation équilibrée constituent deux piliers majeurs de la prise en charge du diabète. Sur le plan nutritionnel, une étude récente, détaillée dans la revue médicale Prescrire, a comparé l’effet du régime méditerranéen (en tout cas de ses grandes composantes) par rapport à un régime pauvre en graisses chez des patients récemment diagnostiqués avec un diabète de type 2, et qui n’étaient pas (encore) traités par médicament hypoglycémiant, destiné à faire baisser le taux de sucre dans le sang.
• Le groupe régime méditerranéen a été encouragé à consommer des légumes, des céréales complètes et de l’huile d’olive, et à réduire la viande rouge en la remplaçant par du poisson et de la volaille.
• Le groupe régime pauvre en lipides était incité à consommer des céréales complètes et à diminuer les graisses. Les lipides devaient représenter moins de 30% de l’apport calorique et les graisses saturées moins de 10%.
• Dans les deux groupes, les apports caloriques quotidiens recommandés étaient de 1.500 kcal pour les femmes et de 1.800 kcal pour les hommes.
Après les quatre ans de suivi, 70% des patients du groupe « pauvre en lipides » recevaient un médicament hypoglycémiant, contre 44% des personnes du groupe « régime méditerranéen ». Autre indication, du même ordre : la moitié du groupe « pauvre en lipides » a reçu ce médicament après environ trois ans, alors qu’il a fallu attendre cinq ans pour atteindre la moitié dans le groupe « régime méditerranéen ».
Prescrire souligne : « En cas de diabète de type 2 de découverte récente, l’adoption d’un régime dit méditerranéen paraît la mesure diététique la plus utile, sans effet indésirable connu, et qui présente en outre l’avantage de réduire le risque cardiovasculaire ».
L’activité physique régulière et l’alimentation équilibrée constituent deux piliers majeurs de la prise en charge du diabète. Sur le plan nutritionnel, une étude récente, détaillée dans la revue médicale Prescrire, a comparé l’effet du régime méditerranéen (en tout cas de ses grandes composantes) par rapport à un régime pauvre en graisses chez des patients récemment diagnostiqués avec un diabète de type 2, et qui n’étaient pas (encore) traités par médicament hypoglycémiant, destiné à faire baisser le taux de sucre dans le sang.
• Le groupe régime méditerranéen a été encouragé à consommer des légumes, des céréales complètes et de l’huile d’olive, et à réduire la viande rouge en la remplaçant par du poisson et de la volaille.
• Le groupe régime pauvre en lipides était incité à consommer des céréales complètes et à diminuer les graisses. Les lipides devaient représenter moins de 30% de l’apport calorique et les graisses saturées moins de 10%.
• Dans les deux groupes, les apports caloriques quotidiens recommandés étaient de 1.500 kcal pour les femmes et de 1.800 kcal pour les hommes.
Après les quatre ans de suivi, 70% des patients du groupe « pauvre en lipides » recevaient un médicament hypoglycémiant, contre 44% des personnes du groupe « régime méditerranéen ». Autre indication, du même ordre : la moitié du groupe « pauvre en lipides » a reçu ce médicament après environ trois ans, alors qu’il a fallu attendre cinq ans pour atteindre la moitié dans le groupe « régime méditerranéen ».
Prescrire souligne : « En cas de diabète de type 2 de découverte récente, l’adoption d’un régime dit méditerranéen paraît la mesure diététique la plus utile, sans effet indésirable connu, et qui présente en outre l’avantage de réduire le risque cardiovasculaire ».
samedi 23 mai 2015
Au coeur de l'éruption du piton de la Fournaise
http://www.lepoint.fr/environnement/au-coeur-de-l-eruption-du-piton-de-la-fournaise-21-05-2015-1930203_1927.php
Sur l'île française de La Réunion, le volcan s'est embrasé depuis dimanche. Un spectacle naturel grandiose auquel le Point.fr vous convie.
Dimanche 17 mai, à 13 h 45, au sud-est de l’île de La Réunion, le piton de la Fournaise, l’un des volcans les plus actifs au monde par la fréquence de ses réveils, est, une nouvelle fois, entré en éruption. La deuxième de l’année après un premier épisode d’une dizaine de jours survenu durant la première moitié du mois de février. Dimanche, une crise sismique importante s'est d'abord produite en début de matinée entraînant aussitôt le déclenchement de la phase d'alerte "éruption probable" du dispositif Orsec spécifique au volcan. Toutefois, les coulées de lave rougeoyantes qui se répandent depuis sur le flanc sud-est du cône central de la montagne ne menacent aucune zone habitée. Pas de panique donc, mais un spectacle grandiose qui suscite l’engouement de la population locale comme des touristes qui se pressent, de jour comme de nuit, aux différents points de vue, afin de l’admirer. L'Observatoire volcanologique du piton de la Fournaise estime que cette éruption pourrait durer plusieurs semaines. Voici quelques-uns des plus beaux clichés de cette montagne embrasée.
A quoi ressemblait le pont d’Avignon au Moyen Age
http://www.lemonde.fr/sciences/video/2015/05/22/a-quoi-ressemblait-le-pont-d-avignon-au-moyen-age_4638790_1650684.html
Il ne reste plus aujourd’hui que quatre arches du célèbre pont d’Avignon, qui, au Moyen Age, traversait tout le Rhône sur plus de 900 mètres. A la suite d’une enquête de quatre ans qui a mobilisé historiens, archéologues, architectes, géologues et ingénieurs, la première reconstitution numérique de l’ouvrage vient d’être effectuée, que dévoile cette vidéo proposée par CNRS Le Journal.
Il ne reste plus aujourd’hui que quatre arches du célèbre pont d’Avignon, qui, au Moyen Age, traversait tout le Rhône sur plus de 900 mètres. A la suite d’une enquête de quatre ans qui a mobilisé historiens, archéologues, architectes, géologues et ingénieurs, la première reconstitution numérique de l’ouvrage vient d’être effectuée, que dévoile cette vidéo proposée par CNRS Le Journal.
vendredi 22 mai 2015
Douleur : le paracétamol reste une référence
Face à l’inquiétude suscitée par une étude récente, les médecins généralistes français réaffirment l’intérêt du paracétamol dans la prise en charge de la douleur.
Un article publié dans la revue Annals of Rheumatic Diseases avait abouti à la conclusion que les patients consommant de manière régulière des hautes doses de paracétamol s’exposaient à de sérieux problèmes cardiovasculaires, rénaux et digestifs, avec un risque d’issue fatale. Le Collège national français des généralistes enseignants (CNGE) s’inquiète des interrogations que cette enquête soulève chez les professionnels de la santé et de l’émoi qu'elle suscite chez de nombreux patients.
Dans un avis relayé par Le Quotidien du Médecin, les signataires relèvent d’abord que cette publication souffre de biais et d’insuffisances, ce que reconnaissent les auteurs eux-mêmes. Ensuite, et surtout, que cette étude n’est pas de nature à modifier les pratiques quand celles-ci sont conformes aux conseils d’utilisation du paracétamol. Ils ajoutent que « le paracétamol demeure l’antidouleur avec le meilleur rapport risque – bénéfice » et qu’une prescription aux doses recommandées n’expose qu’exceptionnellement à des effets indésirables importants. De fait, un surdosage peut entraîner des problèmes graves pour le foie, alors qu’une utilisation sur une longue durée s’accompagne toujours d’un risque, et ceci d'ailleurs quel que soit le médicament.
En d’autres termes, le paracétamol reste une référence, mais doit être utilisé aux doses les plus faibles possibles pendant un laps de temps aussi court que possible.
Un article publié dans la revue Annals of Rheumatic Diseases avait abouti à la conclusion que les patients consommant de manière régulière des hautes doses de paracétamol s’exposaient à de sérieux problèmes cardiovasculaires, rénaux et digestifs, avec un risque d’issue fatale. Le Collège national français des généralistes enseignants (CNGE) s’inquiète des interrogations que cette enquête soulève chez les professionnels de la santé et de l’émoi qu'elle suscite chez de nombreux patients.
Dans un avis relayé par Le Quotidien du Médecin, les signataires relèvent d’abord que cette publication souffre de biais et d’insuffisances, ce que reconnaissent les auteurs eux-mêmes. Ensuite, et surtout, que cette étude n’est pas de nature à modifier les pratiques quand celles-ci sont conformes aux conseils d’utilisation du paracétamol. Ils ajoutent que « le paracétamol demeure l’antidouleur avec le meilleur rapport risque – bénéfice » et qu’une prescription aux doses recommandées n’expose qu’exceptionnellement à des effets indésirables importants. De fait, un surdosage peut entraîner des problèmes graves pour le foie, alors qu’une utilisation sur une longue durée s’accompagne toujours d’un risque, et ceci d'ailleurs quel que soit le médicament.
En d’autres termes, le paracétamol reste une référence, mais doit être utilisé aux doses les plus faibles possibles pendant un laps de temps aussi court que possible.
Les enjeux du satellite Microscope
http://www.lemonde.fr/sciences/video/2015/05/21/les-enjeux-du-satellite-microscope_4637992_1650684.html
En cours de fabrication, le satellite scientifique français Microscope devrait être mis en orbite en 2016. Comme l'explique cette vidéo proposée par Universcience, cet engin vérifiera, avec une précision cent fois meilleure à ce qu'il est possible de mesurer sur Terre, le principe d'équivalence qui est au cœur de la théorie de la relativité d'Einstein.
En cours de fabrication, le satellite scientifique français Microscope devrait être mis en orbite en 2016. Comme l'explique cette vidéo proposée par Universcience, cet engin vérifiera, avec une précision cent fois meilleure à ce qu'il est possible de mesurer sur Terre, le principe d'équivalence qui est au cœur de la théorie de la relativité d'Einstein.
jeudi 21 mai 2015
lundi 18 mai 2015
dimanche 17 mai 2015
L'électronique organique, une révolution ?
http://www.lemonde.fr/sciences/video/2015/05/15/l-electronique-organique-une-revolution_4634412_1650684.html
Le Monde.fr
L'électronique organique, une révolution ?
L'électronique classique utilise des matériaux minéraux, principalement le silicium. Aujourd'hui s'élabore une autre voie qui a recours à un matériau organique semi-conducteur à base de carbone. Comme l'explique le physicien Lionel Hirsch dans cette vidéo d'Universcience, cette électronique dite « des plastiques » permet de développer des composants à basse température, de fabriquer des encres et de les imprimer. Des écrans de téléphones à base d'OLED (diodes électroluminescentes organiques) offrent déjà des images et angles de vue améliorés. D'autres applications sont possibles dans l'éclairage, les panneaux solaires, l'imagerie médicale…
samedi 16 mai 2015
vendredi 15 mai 2015
mercredi 13 mai 2015
lundi 11 mai 2015
Vers un blackout total de l’Internet dans 8 ans?
Pour Andrew Ellis, professeur à l’université de Birmingham, l’utilisation de services nécessitant toujours plus de ressources pourrait mener notre civilisation à un blackout total, dès 2023.
En 2023, l’Internet pourrait être complètement saturé, au point que l’humanité, ou en tout cas une grosse partie de l’Europe, risque un blackout total.
L’utilisation de machines de plus en plus puissantes, la croissance fulgurante du mobile, et l’apparition de services exigeant de très grosses bandes passantes devraient progressivement affecter le réseau, au point de nous mener d’ici huit ans environ, selon les estimations d’Andrew Ellis, à un blackout total. Pour ce professeur émérite de l’université de Birmingham, le risque d’asphyxie est à prendre très au sérieux.
Plus que jamais, l’industrie doit se remettre en question et chercher des alternatives qui permettront à l’Internet de continuer à fonctionner. C’est d’ailleurs pour cette raison que plusieurs experts se réunissent ce lundi dans la capitale britannique pour évaluer la situation et tenter de dégager des pistes à explorer. Car le temps presse, et à moins de trouver une solution rapidement, il sera probablement difficile d’éviter le crash, dans 8 ans.
En effet, la législation européenne ne soutient pas suffisamment l’économie numérique, et les opérateurs attendent de la part de l’Union Européenne un signal fort avant d’investir des montants considérables dans le développement de l’infrastructure nécessaire à l’expansion du réseau et de l’Internet. Un investissement nécessaire pour assurer la continuité des services et éviter le blackout, qui pourrait coûter un montant colossal à la collectivité…
Actif dans les rubriques Eco et Lifestyle du journal, j’ai rejoint Le Soir il y a trois ans pour une formidable aventure numérique. Globe-trotter passionné de photographie, je m’intéresse à tout ce qui touche aux nouvelles-technologies. Twitter : @etiennefroment
samedi 9 mai 2015
TomTom lance une caméra sportive avec logiciel de montage intégré
Nouveau venu sur le marché des caméras sportives tout terrain, TomTom entend se distinguer en facilitant grandement le processus de montage des vidéos. Il suffit de secouer l’appareil pour ne conserver que les meilleures séquences.
Le 09/05/2015 à 09:32 - Par Relaxnews
Avec sa caméra Bandit, TomTom espère se faire une place sur le marché très convoité des caméras sportives tout terrain. © TomTom
L'entreprise néerlandaise surtout connue pour ses outils de navigation a dévoilé sa première caméra sportive numérique GPS qui devrait permettre de gagner du temps de montage sur leurs vidéos. TomTom avance que sa Bandit Action Camera serait la première à intégrer un logiciel de montage, évitant le recours à un ordinateur. Le travail est réalisé directement sur la caméra et sonapplication pour smartphone dédiée avant de partager ses vidéos.
La caméra Bandit embarque des capteurs de mouvement GPS qui recherchent et marquent les meilleurs moments des vidéos en fonction de la vitesse, de l'altitude et de l'accélération, mais il est aussi possible de sélectionner ces moments à la main. Autre atout de cet appareil capable de filmer avec une définition Ultra HD, sa fonction « shake » (« secousse ») : en secouant la caméra, on se débarrasse des passages superflus pour ne garder que ceux qui ont été marqués.
Secouez, c’est monté
« Nous savons que la plus grande frustration des personnes qui possèdent une caméra d'action aujourd'hui est le temps et les efforts nécessaires au montage, a expliqué Corinne Vigreux, cofondatrice de TomTom Consumer. Avec TomTom Bandit nous avons réduit le temps de montage de quelques heures à quelques minutes – et tout cela grâce à quelques secousses ! » De plus, en achetant un simple accessoire à fixer sur l'objectif, l'appareil devient étanche et pourra être immergé jusqu'à 50 m sans avoir à investir dans un boîtier dédié.
Le fabricant tient à préciser que cette caméra est aussi dotée d'un grand angle et d'une batterie longue durée. Elle sera en vente courant mai chez certains revendeurs et sur le site Internet deTomTom pour la coquette somme de 429 euros. Un pack premium sera par ailleurs proposé courant juin comprenant des accessoires qui seront aussi commercialisés séparément, précise l'entreprise.
Kodak a par exemple développé une caméra ultra-compacte capable d'immortaliser des vidéos HD à 360 degrés, la Kodak PixPro SP360 Action Cam (349 dollars, environ 310 euros) pourrait avoir un bel avenir devant elle. Elle intègre aussi la détection de mouvement, ce qui lui permet de commencer à filmer lorsque, par exemple, un animal commence à courir dans la forêt.
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