Certains l’appellent la « Cornemuse du diable ». Et il est vrai que l’orgue en impose. Avec ses 6 055 tuyaux de 6 millimètres à 9 mètres, ses quatre claviers, ses deux consoles, celui de la Philharmonie de Paris le confirme.
Après sept mois de nuits blanches pour l’installer et l’harmoniser, il sera fin prêt pour envoûter la salle de spectacle dès le début février. Et c’est grâce au travail de Michel Garnier, un artisan à l’oreille aguerrie, que les spectateurs entendront pour la première fois résonner les premières notes de cet instrument ancestral et complexe.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire