NEWS La pratique assidue de la méditation préserve des paramètres cruciaux du fonctionnement du cerveau, et freine son vieillissement. Une protection aussi contre la maladie d’Alzheimer ?
Une équipe française (Inserm) a comparé les structures cérébrales de seniors selon qu’ils pratiquaient (beaucoup) la méditation, ou pas du tout. Et par méditation, on entend ici celle prônée par plusieurs courants traditionnels bouddhistes. Les observations ont été réalisées par imagerie médicale : résonance magnétique (IRM) et tomographie par émission de positons (TEP ou PET Scan).
Comme le rapporte Le Point, « les résultats montrent des différences significatives duvolume de matière grise et du métabolisme du glucose dans les régions cérébrales qui déclinent le plus avec l’âge », comme l’ont montré des examens réalisés en parallèle sur un groupe de personnes âgées de 20 à 87 ans. En fait, « ceci suggère que la méditation pourrait avoir un effet positif sur le vieillissement cérébral en réduisant le stress, l’anxiété, les émotions négatives et les problèmes de sommeil, qui ont tendance à s’accentuer avec l’âge », et qui constituent des facteurs de risque d’accélération du déclin cognitif, et de développement de la maladie d’Alzheimer. Une étude sur une plus large population va être organisée afin de vérifier et d’affiner ces données. Un premier bilan est attendu en 2019.
Une équipe française (Inserm) a comparé les structures cérébrales de seniors selon qu’ils pratiquaient (beaucoup) la méditation, ou pas du tout. Et par méditation, on entend ici celle prônée par plusieurs courants traditionnels bouddhistes. Les observations ont été réalisées par imagerie médicale : résonance magnétique (IRM) et tomographie par émission de positons (TEP ou PET Scan).
Comme le rapporte Le Point, « les résultats montrent des différences significatives duvolume de matière grise et du métabolisme du glucose dans les régions cérébrales qui déclinent le plus avec l’âge », comme l’ont montré des examens réalisés en parallèle sur un groupe de personnes âgées de 20 à 87 ans. En fait, « ceci suggère que la méditation pourrait avoir un effet positif sur le vieillissement cérébral en réduisant le stress, l’anxiété, les émotions négatives et les problèmes de sommeil, qui ont tendance à s’accentuer avec l’âge », et qui constituent des facteurs de risque d’accélération du déclin cognitif, et de développement de la maladie d’Alzheimer. Une étude sur une plus large population va être organisée afin de vérifier et d’affiner ces données. Un premier bilan est attendu en 2019.
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