NEWS Les téléphones portables sont couverts de germes (virus et bactéries) déposés par nos mains. Dans des circonstances habituelles, cela ne pose pas vraiment de problème. A l’hôpital et en présence de patients fragiles, c’est différent. Le personnel soignant fait-il suffisamment attention au risque ?
Plusieurs recherches ont été réalisées par le passé sur la présence de germes sur les smartphones et les GSM du personnel hospitalier. Elles concluaient à une concentration élevée de microbes potentiellement pathogènes et à un nettoyage insuffisant de l’appareil mobile, ainsi et surtout que des mains (désinfection) après l’utilisation du portable et avant les soins aux patients. Une équipe brésilienne (université de São Paulo) a mené à son tour l’enquête, cette fois auprès d’étudiants en formation dans des hôpitaux, qu’il s’agisse de médecins, de pharmaciens, de diététiciens ou d’infirmiers.
Résultat : l’écrasante majorité de leurs téléphones portables présentaient une densité élevée de germes - virus et bactéries - dont certains résistants aux antibiotiques. Les appareils des étudiants infirmiers posaient le plus de problèmes, sans doute en raison de leurs contacts plus fréquents avec les patients, et d’une hygiène des mains insuffisante.
Les chercheurs insistent sur l’importance de la désinfection des mains après l'utilisation du portable et avant d’approcher un patient (mais aussi après les soins). Bien sûr, le téléphone portable est utile pour les professionnels de la santé, en facilitant la coordination. Mais il risque de se transformer en vecteur de germes, sources d’infections nosocomiales (contractées à l’hôpital), avec des conséquences qui peuvent être dramatiques pour les patients. La désinfection régulière de l’appareil (lingettes) et fréquente des mains est essentielle. Et pour les visiteurs, même principe : on se désinfecte les mains avant d’approcher le patient.
Plusieurs recherches ont été réalisées par le passé sur la présence de germes sur les smartphones et les GSM du personnel hospitalier. Elles concluaient à une concentration élevée de microbes potentiellement pathogènes et à un nettoyage insuffisant de l’appareil mobile, ainsi et surtout que des mains (désinfection) après l’utilisation du portable et avant les soins aux patients. Une équipe brésilienne (université de São Paulo) a mené à son tour l’enquête, cette fois auprès d’étudiants en formation dans des hôpitaux, qu’il s’agisse de médecins, de pharmaciens, de diététiciens ou d’infirmiers.
Résultat : l’écrasante majorité de leurs téléphones portables présentaient une densité élevée de germes - virus et bactéries - dont certains résistants aux antibiotiques. Les appareils des étudiants infirmiers posaient le plus de problèmes, sans doute en raison de leurs contacts plus fréquents avec les patients, et d’une hygiène des mains insuffisante.
Les chercheurs insistent sur l’importance de la désinfection des mains après l'utilisation du portable et avant d’approcher un patient (mais aussi après les soins). Bien sûr, le téléphone portable est utile pour les professionnels de la santé, en facilitant la coordination. Mais il risque de se transformer en vecteur de germes, sources d’infections nosocomiales (contractées à l’hôpital), avec des conséquences qui peuvent être dramatiques pour les patients. La désinfection régulière de l’appareil (lingettes) et fréquente des mains est essentielle. Et pour les visiteurs, même principe : on se désinfecte les mains avant d’approcher le patient.
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