https://www.liberation.fr/sciences/2019/09/28/le-premier-emirati-de-l-espace-et-autres-nouvelles-du-ciel_1752529
lundi 30 septembre 2019
Alimentation et cancer : le chou
NEWS Les différents types de chou s'intègrent parfaitement dans une alimentation saine, dont on sait qu'elle peut contribuer à prévenir le développement du cancer. Mais en tant que tels, les choux ont-ils le même effet ?
Les choux font partie de la famille des crucifères : brocoli, chou-fleur, chou rouge, chou blanc, chou chinois, chou de Milan, chou de Bruxelles... Les choux sont présentés comme pouvant réduire le risque de cancer en raison de leur teneur en glucosinolates. Les glucosinolates sont convertis en isothiocyanates et en indoles pendant la préparation des aliments, et ces deux substances protégeraient contre les agents cancérigènes.
Plusieurs études ont montré que les personnes qui mangent une portion de chou (quel qu'il soit) trois fois par semaine sont moins susceptibles de développer certains types de cancer. Cependant, d'autres études n'ont pas trouvé ce lien.
Les choux font partie de la famille des crucifères : brocoli, chou-fleur, chou rouge, chou blanc, chou chinois, chou de Milan, chou de Bruxelles... Les choux sont présentés comme pouvant réduire le risque de cancer en raison de leur teneur en glucosinolates. Les glucosinolates sont convertis en isothiocyanates et en indoles pendant la préparation des aliments, et ces deux substances protégeraient contre les agents cancérigènes.
Plusieurs études ont montré que les personnes qui mangent une portion de chou (quel qu'il soit) trois fois par semaine sont moins susceptibles de développer certains types de cancer. Cependant, d'autres études n'ont pas trouvé ce lien.
dimanche 29 septembre 2019
samedi 28 septembre 2019
vendredi 27 septembre 2019
jeudi 26 septembre 2019
mercredi 25 septembre 2019
mardi 24 septembre 2019
lundi 23 septembre 2019
dimanche 22 septembre 2019
samedi 21 septembre 2019
vendredi 20 septembre 2019
jeudi 19 septembre 2019
Fibromyalgie : quel est le rôle des bactéries intestinales ?
NEWS Existe-t-il une corrélation entre la fibromyalgie et la composition du microbiote intestinal (les bactéries) ? C’est fort possible, et en cas de confirmation, cela dégage des nouvelles pistes de diagnostic et de traitement.
La fibromyalgie affecte ente 2% et 4% de la population, en grande majorité des femmes. Lessymptômes comprennent la fatigue, les troubles du sommeil, les difficultés cognitives, ainsi et surtout que la douleur chronique. Une équipe canadienne (université de Montréal et université McGill) a réuni des patients fibromyalgiques et des personnes en bonne santé générale (dont des parents et des conjoints de patients).
Les participants ont fourni des échantillons de selles, et leur analyse met en évidence une altération significative des bactéries peuplant l’intestin des patients fibromyalgiques. Ainsi, une vingtaine d’espèces sont présentes soit en plus grande soit en plus faible quantité que chez les personnes ne souffrant pas de la maladie. Une simulation informatique, basée sur ces particularités bactériennes, a permis d’identifier les patients fibromyalgiques avec un taux d’exactitude de 87%.
Une question majeure se pose : ces variations du microbiote intestinal sont-elles uniquement des marqueurs de la maladie ou jouent-elles aussi un rôle dans son apparition ? Les chercheurs ajoutent qu’il faut également vérifier si le microbiote intestinal subit le même type de modifications dans le cas d’autres types de douleur chronique, comme la lombalgie ou la migraine. La pertinence de ces observations doit donc être confirmée, mais elle dégage néanmoins des perspectives intéressantes en termes dediagnostic (souvent très tardif) et de traitement (quasiment inexistant) de cette maladie invalidante.
La fibromyalgie affecte ente 2% et 4% de la population, en grande majorité des femmes. Lessymptômes comprennent la fatigue, les troubles du sommeil, les difficultés cognitives, ainsi et surtout que la douleur chronique. Une équipe canadienne (université de Montréal et université McGill) a réuni des patients fibromyalgiques et des personnes en bonne santé générale (dont des parents et des conjoints de patients).
Les participants ont fourni des échantillons de selles, et leur analyse met en évidence une altération significative des bactéries peuplant l’intestin des patients fibromyalgiques. Ainsi, une vingtaine d’espèces sont présentes soit en plus grande soit en plus faible quantité que chez les personnes ne souffrant pas de la maladie. Une simulation informatique, basée sur ces particularités bactériennes, a permis d’identifier les patients fibromyalgiques avec un taux d’exactitude de 87%.
Une question majeure se pose : ces variations du microbiote intestinal sont-elles uniquement des marqueurs de la maladie ou jouent-elles aussi un rôle dans son apparition ? Les chercheurs ajoutent qu’il faut également vérifier si le microbiote intestinal subit le même type de modifications dans le cas d’autres types de douleur chronique, comme la lombalgie ou la migraine. La pertinence de ces observations doit donc être confirmée, mais elle dégage néanmoins des perspectives intéressantes en termes dediagnostic (souvent très tardif) et de traitement (quasiment inexistant) de cette maladie invalidante.
Source: Pain (https://journals.lww.com/pa)
publié le : 19/09/2019 , mis à jour le 18/09/2019
publié le : 19/09/2019 , mis à jour le 18/09/2019
mercredi 18 septembre 2019
Les Andes perdent 23 milliards de tonnes de glaces par an
https://www.lemonde.fr/blog/huet/2019/09/16/les-andes-perdent-23-milliards-de-tonnes-de-glaces-par-an/
Les glaciers des Andes maigrissent à grande vitesse. Depuis 2000, ils ont perdu 23 milliards de tonnes de glaces en moyenne annuelle. Un régime minceur spectaculaire, visible à l’œil… de satellites. C’est ce que relate une équipe de scientifiques dans un article (1) qui parait ce jour dans la revue Nature Geoscience. Une perte massive qui augmente aujourd’hui le débit de rivières durant l’été… mais se traduira à terme par leur assèchement. Et qui contribue à élever le niveau marin planétaire.
Les glaciers des Andes maigrissent à grande vitesse. Depuis 2000, ils ont perdu 23 milliards de tonnes de glaces en moyenne annuelle. Un régime minceur spectaculaire, visible à l’œil… de satellites. C’est ce que relate une équipe de scientifiques dans un article (1) qui parait ce jour dans la revue Nature Geoscience. Une perte massive qui augmente aujourd’hui le débit de rivières durant l’été… mais se traduira à terme par leur assèchement. Et qui contribue à élever le niveau marin planétaire.
mardi 17 septembre 2019
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