NEWS Chez certaines personnes, il est possible que des déficiences cognitives associées à Alzheimer se manifestent à un âge très jeune, quatre décennies avant le développement de la maladie.
Un antécédent familial au premier degré (père ou mère) de la maladie d’Alzheimer constitue un facteur de risque connu de présenter soi-même la maladie. Une équipe américaine (The Translational Genomics Research Institute) a recruté quelque 60.000 personnes âgées de 18 à 85 ans, auxquelles elle a fait passer des tests mentaux en ligne, évaluant en particulier les capacités de la mémoire.
Le résultat indique que les participants avec un antécédent familial direct d’Alzheimer réussissent moins bien les tests, et ceci dès un âge jeune. Cette association est modulée par des facteurs comme le sexe (les hommes sont plus à risque), le diabète, le degré de scolarité (plus faible = risque plus élevé), ainsi que la présence d’un variant du gène ApoE (ApoE4).
Une analyse approfondie conduit les chercheurs à estimer : « Un antécédent familial au premier degré de la maladie d’Alzheimer est associé à une baisse des performances jusqu’à 40 ans avant le développement classique de la maladie ». Ils ajoutent que si le sexe et la génétique ne sont pas modifiables, il est possible d’agir sur d’autres paramètres, comme le diabète et la scolarité, tout en dégageant des méthodes de détection (très) précoces du risque.
Un antécédent familial au premier degré (père ou mère) de la maladie d’Alzheimer constitue un facteur de risque connu de présenter soi-même la maladie. Une équipe américaine (The Translational Genomics Research Institute) a recruté quelque 60.000 personnes âgées de 18 à 85 ans, auxquelles elle a fait passer des tests mentaux en ligne, évaluant en particulier les capacités de la mémoire.
Le résultat indique que les participants avec un antécédent familial direct d’Alzheimer réussissent moins bien les tests, et ceci dès un âge jeune. Cette association est modulée par des facteurs comme le sexe (les hommes sont plus à risque), le diabète, le degré de scolarité (plus faible = risque plus élevé), ainsi que la présence d’un variant du gène ApoE (ApoE4).
Une analyse approfondie conduit les chercheurs à estimer : « Un antécédent familial au premier degré de la maladie d’Alzheimer est associé à une baisse des performances jusqu’à 40 ans avant le développement classique de la maladie ». Ils ajoutent que si le sexe et la génétique ne sont pas modifiables, il est possible d’agir sur d’autres paramètres, comme le diabète et la scolarité, tout en dégageant des méthodes de détection (très) précoces du risque.
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