lundi 30 novembre 2015
dimanche 29 novembre 2015
samedi 28 novembre 2015
Dépolluer avec... des tissus lumineux
http://www.lemonde.fr/sciences/video/2015/11/27/depolluer-avec-des-tissus-lumineux_4819418_1650684.html
La photocatalyse désigne une réaction chimique qui tire son énergie de la lumière. Comme l’explique cette vidéo proposée par CNRS Le Journal, une équipe de chercheurs lyonnais a, sur ce principe, mis au point un textile « intelligent », capable d’absorber certains polluants présents dans l’environnement, en intégrant des fibres optiques dans le tissu, lesquelles fournissent la lumière nécessaire à la photocatalyse.
La photocatalyse désigne une réaction chimique qui tire son énergie de la lumière. Comme l’explique cette vidéo proposée par CNRS Le Journal, une équipe de chercheurs lyonnais a, sur ce principe, mis au point un textile « intelligent », capable d’absorber certains polluants présents dans l’environnement, en intégrant des fibres optiques dans le tissu, lesquelles fournissent la lumière nécessaire à la photocatalyse.
vendredi 27 novembre 2015
TTIP : quand Bruxelles fricote avec les géants du pétrole
http://www.euractiv.fr/sections/energie/ttip-quand-bruxelles-fricote-avec-les-geants-du-petrole-319904
L’UE aurait donné accès à des stratégies de négociation confidentielles du TTIP, considérées trop sensibles pour être dévoilées aux Européens, à la société pétrolière américaine ExxonMobil.
L’UE aurait donné accès à des stratégies de négociation confidentielles du TTIP, considérées trop sensibles pour être dévoilées aux Européens, à la société pétrolière américaine ExxonMobil.
jeudi 26 novembre 2015
mercredi 25 novembre 2015
Cultiver des algues dans les façades des immeubles
http://www.lemonde.fr/sciences/video/2015/11/24/cultiver-des-algues-dans-les-facades-des-immeubles_4816358_1650684.html
307_Des_algues_dans_nos_villes par universcience-lemonde
Cultiver des microalgues sur les murs de nos villes, notamment pour capter le dioxyde de carbone, tel est le concept développé par Olivier Scheffer de XTU Architects, et Jérémy Pruvost, chercheur en génie des procédés à l’université de Nantes. Comme ils l’expliquent dans cette vidéo proposée par Universcience, les premières réalisations vont bientôt voir le jour. Ainsi, le vivant sera intégré dans le bâti, produisant des biofaçades passant par toutes les nuances de rouge, de brun et de vert…
307_Des_algues_dans_nos_villes par universcience-lemonde
Cultiver des microalgues sur les murs de nos villes, notamment pour capter le dioxyde de carbone, tel est le concept développé par Olivier Scheffer de XTU Architects, et Jérémy Pruvost, chercheur en génie des procédés à l’université de Nantes. Comme ils l’expliquent dans cette vidéo proposée par Universcience, les premières réalisations vont bientôt voir le jour. Ainsi, le vivant sera intégré dans le bâti, produisant des biofaçades passant par toutes les nuances de rouge, de brun et de vert…
mardi 24 novembre 2015
lundi 23 novembre 2015
dimanche 22 novembre 2015
samedi 21 novembre 2015
Alzheimer : ce qui augmente et ce qui diminue le risque
NEWS Un éventail de facteurs semblent intervenir – positivement ou négativement - dans le risque de développer la maladie d’Alzheimer. Sur lesquels peut-on agir ?
Cette équipe américaine (université de Californie) a réalisé une méta-analyse, avec le croisement des résultats de plusieurs centaines d’études consacrées à ce sujet. Les chercheurs estiment qu’une proportion considérable de cas d’Alzheimer pourrait être évitée en corrigeant les facteurs de risque les plus évidents, tout en encourageant les comportements bénéfiques.
Ce qui augmente le risque
• l’hypertension artérielle
• le diabète de type 2
• un indice de masse corporelle (IMC) trop élevé ou trop bas à l’âge mûr
• la dépression
• des taux élevés d’homocystéine (un acide aminé)
• la sténose carotidienne (rétrécissement de l’artère carotide)
• un état de santé fragile
Ce qui fait baisser le risque
• les œstrogènes
• les statines (anti-cholestérol)
• les antihypertenseurs
• les Ains (anti-inflammatoires non stéroïdiens)
• les folates
• les vitamines E et C
• le café
• une consommation modérée d’alcool
• les exercices mentaux (tout ce qui fait travailler les facultés cognitives : mémoire, raisonnement, résolution de problèmes…)
D’autres paramètres entrent en considération, et d’autres facteurs augmentant ou diminuant le risque interviennent, mais globalement, estiment les chercheurs, le fait d’agir sur ces composantes (alimentation, maladie, médicaments, mode de vie…) réduirait très sensiblement l’incidence de la maladie d’Alzheimer dans la population générale.
Cette équipe américaine (université de Californie) a réalisé une méta-analyse, avec le croisement des résultats de plusieurs centaines d’études consacrées à ce sujet. Les chercheurs estiment qu’une proportion considérable de cas d’Alzheimer pourrait être évitée en corrigeant les facteurs de risque les plus évidents, tout en encourageant les comportements bénéfiques.
Ce qui augmente le risque
• l’hypertension artérielle
• le diabète de type 2
• un indice de masse corporelle (IMC) trop élevé ou trop bas à l’âge mûr
• la dépression
• des taux élevés d’homocystéine (un acide aminé)
• la sténose carotidienne (rétrécissement de l’artère carotide)
• un état de santé fragile
Ce qui fait baisser le risque
• les œstrogènes
• les statines (anti-cholestérol)
• les antihypertenseurs
• les Ains (anti-inflammatoires non stéroïdiens)
• les folates
• les vitamines E et C
• le café
• une consommation modérée d’alcool
• les exercices mentaux (tout ce qui fait travailler les facultés cognitives : mémoire, raisonnement, résolution de problèmes…)
D’autres paramètres entrent en considération, et d’autres facteurs augmentant ou diminuant le risque interviennent, mais globalement, estiment les chercheurs, le fait d’agir sur ces composantes (alimentation, maladie, médicaments, mode de vie…) réduirait très sensiblement l’incidence de la maladie d’Alzheimer dans la population générale.
Source: Journal of Neurology, Neurosurgery & Psychiatry (http://jnnp.bmj.com)
vendredi 20 novembre 2015
jeudi 19 novembre 2015
Océans de déchets plastiques
Océans : des « continents » de déchets plastiques (vidéo)
NEWS Une simulation réalisée par la Nasa montre que les déchets plastiques déversés dans les océans s’amassent et finissent par former au fil du temps cinq « continents ».
Les spécialistes parlent de la « plastisphère »pour désigner cette accumulation de matière plastique polluante : en fait, ces déchets se fragmentent progressivement et sont transportés par les courants vers d’immenses zones océaniques, où ils se regroupent. Pour déterminer leur localisation, la Nasa a développé un modèle permettant de calculer ces déplacements. Il repose sur l’observation par satellite dela trajectoire de bouées dédiées à l’étude des courants océaniques et la simulation sur ordinateur de la progression des déchets.
Le résultat montre les mouvements des déchets pendant six ans, et on constate qu’ils finissent par aboutir dans cinq zones bien définies des océans Pacifique, Atlantique et Indien. Une simulation vraiment impressionnante.
Regardez la vidéo
Les spécialistes parlent de la « plastisphère »pour désigner cette accumulation de matière plastique polluante : en fait, ces déchets se fragmentent progressivement et sont transportés par les courants vers d’immenses zones océaniques, où ils se regroupent. Pour déterminer leur localisation, la Nasa a développé un modèle permettant de calculer ces déplacements. Il repose sur l’observation par satellite dela trajectoire de bouées dédiées à l’étude des courants océaniques et la simulation sur ordinateur de la progression des déchets.
Le résultat montre les mouvements des déchets pendant six ans, et on constate qu’ils finissent par aboutir dans cinq zones bien définies des océans Pacifique, Atlantique et Indien. Une simulation vraiment impressionnante.
Regardez la vidéo
mercredi 18 novembre 2015
mardi 17 novembre 2015
lundi 16 novembre 2015
dimanche 15 novembre 2015
Paradis
Ils sont restés 10 ans en forêt pour obtenir ce résultat.
Ne supprimez pas ce trésor avant de l'avoir visionné (en plein écran)!
Remarquez la caméra du photographe ainsi que la qualité de l'image et du son !
Les oiseaux de Paradis, film tourné en Nouvelle-Guinée, ils y sont restés 10 ans pour cela !
Smartphone : souffrez-vous de nomophobie ?
NEWS Le smartphone peut-il être à l’origine d’une forme d’anxiété liée à la crainte de ne pas disposer de son appareil comme on le voudrait ? Certains spécialistes le pensent, et parlent de nomophobie.
Ce concept a été introduit voici quelques années par des chercheurs britanniques, au terme d’une étude qui indiquait qu’à des degrés très divers, la moitié des utilisateurs de téléphone mobile (et près de 80% parmi les 18 – 24 ans) se sentaient mal, anxieux, quand leur GSM n’était pas pleinement opérationnel (batterie faible, crédit insuffisant, appareil oublié à la maison, pas de réseau…). Le terme « nomophobie » a alors été créé, contraction de « no mobile phone phobia ».
Depuis, une série d’études ont confirmé ce phénomène, en particulier dans la population jeune, mais pas seulement. De là à affirmer qu’il s’agit d’une « vraie » phobie (une crainte déraisonnable), à caractère pathologique (avec des répercussions importantes et invalidantes dans la vie quotidienne), il y a encore de la marge. Comme l’explique Futura Sciences, une équipe de l’université de l’Iowa conduit des recherches dans ce domaine, et elle affine en particulier un questionnaire destiné à évaluer les risques de développer une nomophobie.
Ainsi, à titre d’exemple, entre 0 (pas du tout d'accord) et 7 (totalement d’accord) :
• Je me sentirais mal à l’aise sans un accès permanent à Internet via mon smartphone.
• La perspective de manquer de batterie me stresse.
• Si je n’avais pas mon smartphone avec moi :
- Je serais inquiet parce que coupé du monde, ma famille ou mes amis ne pourraient pas me joindre.
- Je serais nerveux parce que déconnecté de mon identité en ligne.
- Je me sentirais anxieux parce que je ne pourrais pas consulter mes e-mails.
- Je me sentirais désemparé, sans trop savoir quoi faire.
Et ainsi de suite…
La nomophobie doit être distinguée de l’addiction : c’est l’angoisse de la séparation qui prime. Sans son smartphone, on se sent « nu », isolé, perdu. Les chercheurs veulent aussi essayer de déterminer s’il existe des profils de personnalité plus à risque que d’autres. Un vaste champ d’étude…
Ce concept a été introduit voici quelques années par des chercheurs britanniques, au terme d’une étude qui indiquait qu’à des degrés très divers, la moitié des utilisateurs de téléphone mobile (et près de 80% parmi les 18 – 24 ans) se sentaient mal, anxieux, quand leur GSM n’était pas pleinement opérationnel (batterie faible, crédit insuffisant, appareil oublié à la maison, pas de réseau…). Le terme « nomophobie » a alors été créé, contraction de « no mobile phone phobia ».
Depuis, une série d’études ont confirmé ce phénomène, en particulier dans la population jeune, mais pas seulement. De là à affirmer qu’il s’agit d’une « vraie » phobie (une crainte déraisonnable), à caractère pathologique (avec des répercussions importantes et invalidantes dans la vie quotidienne), il y a encore de la marge. Comme l’explique Futura Sciences, une équipe de l’université de l’Iowa conduit des recherches dans ce domaine, et elle affine en particulier un questionnaire destiné à évaluer les risques de développer une nomophobie.
Ainsi, à titre d’exemple, entre 0 (pas du tout d'accord) et 7 (totalement d’accord) :
• Je me sentirais mal à l’aise sans un accès permanent à Internet via mon smartphone.
• La perspective de manquer de batterie me stresse.
• Si je n’avais pas mon smartphone avec moi :
- Je serais inquiet parce que coupé du monde, ma famille ou mes amis ne pourraient pas me joindre.
- Je serais nerveux parce que déconnecté de mon identité en ligne.
- Je me sentirais anxieux parce que je ne pourrais pas consulter mes e-mails.
- Je me sentirais désemparé, sans trop savoir quoi faire.
Et ainsi de suite…
La nomophobie doit être distinguée de l’addiction : c’est l’angoisse de la séparation qui prime. Sans son smartphone, on se sent « nu », isolé, perdu. Les chercheurs veulent aussi essayer de déterminer s’il existe des profils de personnalité plus à risque que d’autres. Un vaste champ d’étude…
Source: Computers in Human Behavior (www.journals.elsevier.com/computers-in-human-behavior)
publié le : 15/11/2015
publié le : 15/11/2015
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