a magnétoencéphalographie (MEG), qui détecte les champs magnétiques infinitésimaux émis par le fonctionnement de nos neurones, se répand dans le domaine de la neurologie. Avec des capteurs extrêmement sensibles refroidis à l'hélium (– 260 °C), les signaux sont recueillis par un ordinateur qui traite les informations et dresse des cartes du cerveau avec une précision temporelle d'un millième de seconde, bien supérieure à celle d'une IRM. Dans cette vidéo d'Universcience, le médecin et physicien Denis Le Bihan, directeur du NeuroSpin (CEA de Saclay), explique qu'on peut ainsi travailler sur l'épilepsie ou sur des pathologies psychiatriques liées à des anomalies de synchronisation dans le cerveau.
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